Téléphone : 04 94 27 80 20
Fax : 04 94 27 80 30
Principal : Agnès Desault
Principal adjoint : Emilie Berton
Gestionnaire : Valérie Legrand
Chef cuisinier : Philippe Delacourt
Caractéristiques
Construction : 1998
Capacité : 900 élèves
Superficie du terrain : 37 842 m²
Superficie du bâti : 7 400 m²
Nombre de salles de classes : 34 (21 banalisées, 2 informatique, 4 sciences, 3 technologie, 1 arts plastiques, 1 musique, 1 CDI, 1 audiovisuel)
Auditorium : oui
Équipements sportifs : plateaux sportifs
Équipements développement durable : non
490 élèves sont scolarisés au collège André-Malraux à La Farlède à la rentrée 2018*
* les effectifs consolidés sont connus au mois d'octobre de chaque année, après inscription définitive des élèves
La dotation de fonctionnement versée par le Département au collège André-Malraux à La Farlède s'élève, en 2018**, à 52 368 €
Le Département assure la construction, l'aménagement, l'entretien des collèges publics varois. En matière d'investissement, il pourvoit à leur équipement, mobilier ou informatique, ainsi qu'aux infrastructures nécessaires à l'activité sportive des élèves. Il finance aussi le fonctionnement de chaque établissement. Pour assurer la vie courante du collège, le Conseil départemental du Var verse à chacun des 71 collèges varois une dotation annuelle. Cette subvention est gérée directement par le chef d'établissement et l'agent comptable, les collèges disposant tous d'une autonomie financière, administrative et éducative. Le collège a ainsi bénéficié en 2018 d'une subvention de fonctionnement de 52 368 €.
Elle comprend une dotation globale de base, calculée en fonction de l'effectif consolidé et de la surface de l'établissement et couvre également le coût d'activités pédagogiques spécifiques, ou l'aide à la restauration scolaire pour les familles les plus modestes.
Pour l'ensemble des 71 collèges publics varois, le Département a versé plus de 5,177 millions d'€ de dotation de fonctionnement en 2018 pour 41 560 élèves.
** la dotation annuelle de fonctionnement est calculée sur une année civile pour des raisons de cohérence budgétaire, ce qui explique le décalage avec l'année scolaire